•  À vous d'accepter ou de refuser !

    Les nouvelles cartes bancaires sont dotées d’une fonction de paiement sans contact. Pesez les avantages et les risques avant d'accepter ou de refuser !

    Votre carte bancaire permet-elle le paiement sans contact ? Si elle affiche un logo  rappelant le signal WIFI, la réponse est oui ! Vous ne le saviez pas ? C’est que votre banque vous a équipé d’office de cette fonction lors du renouvellement de votre carte. Elle a pu aussi vous en informer dans une clause des conditions générales d’utilisation de votre carte que peu de personnes lisent.

    A quoi ça sert ? A régler dans les magasins de petites sommes ( maximum 20€ par paiement ), juste en passant la carte près d’un lecteur, sans entrer votre code confidentiel. Avantage: un passage plus rapide aux caisses, et une incitation à renoncer au paiement en espèces.

    Faut-il s'en méfier ? Deux risques sont pointés par l’association 60 millions de consommateurs dans une enquête publiée en mars 2014 :

    - La possible vulnérabilité de ces cartes au piratage d’informations bancaires à partir des données émises à distance par la puce de la carte ( par exemple: le numéro à 16 chiffres ). Pour en savoir plu s: Carte bancaire sans contact, des précautions s'imposent
    - En cas de perte ou vol de la carte, une personne mal attentionnée pourrait multiplier des achats de 20€ en toute facilité, jusqu’à sa mise en opposition. Pas de panique cependant, au-delà d’un certain plafond d’achats cumulés sans contact ( par exemple: 80 ou 100 €, montant à vérifier auprès de votre banque ), il est demandé d’insérer la carte et de composer le code. Mais cela reste un inconvénient du système. Certes, la banque doit rembourser toutes les opérations frauduleuses mais comment prouver qu’elles l’étaient puisque le paiement sans contact n’exige aucune authentification ?
     

     

    Refuser ce service ou le désactiver

    Vous ne souhaitez pas le service paiement sans contact ? Quels sont vos droits ?

    La CNIL ( Commission nationale de l'informatique et des libertés ) précise que, préalablement au renouvellement de la carte, les banques doivent informer leurs clients que celle-ci disposera de la fonction paiement sans contact. Lisez attentivement les courriers de votre banque ou les conditions générales d’utilisation de la carte. En tout état de cause, l’essentiel est de savoir que les clients ont le droit de s'opposer à cette fonction.
    Les banques sont libres de choisir les moyens divers pour respecter ce droit d’opposition. Certaines proposent de distribuer
    une nouvelle carte identique aux anciens modèles ( sans surcoût ). D’autres établissements proposent une désactivation via le site internet de la banque et une prise en compte lors de la prochaine utilisation de la carte dans un distributeur automatique de billets. D’autres encore font le choix de distribuer des cartes dont l’interface sans contact n’est pas active et qui peut être activée à la demande de l’utilisateur.

    Interrogez votre banque pour savoir pour quelle solution elle a opté. Si elle ne respecte pas son devoir d’information ou si elle refuse de désactiver cette fonction, vous pouvez vous en plaindre auprès de la CNIL en appelant le 01 53 73 22 22 ( du lundi au vendredi de 10h à 12h et de 14h à 16h ). Par courrier : CNIL - Service des plaintes - 8, rue Vivienne - CS 30223 - 75083 Paris cedex 02

    Un conseil : Si votre carte arrive à échéance bientôt, prenez les devants ! Au moins un mois avant son renouvellement, faites un courrier ( ou un mail ) à votre conseiller bancaire pour lui signifier que vous ne voulez pas de la fonction paiement sans contact.

     

    Les étuis anti-piratage de données

    Vous souhaitez garder votre carte avec paiement sans contact mais vous êtes inquiet du risque de piratage ? Il existe sur le marché des étuis « anti-NFC » ( Near field communication ) qui empêchent les fraudeurs de capter les données bancaires. Son principe ? Loger la carte dans une sorte de Faraday qui bloque les ondes. En revanche, la protection cesse au moment du paiement, puisqu’il faut sortir sa carte. Sur simple demande, certaines banques fournissent gratuitement un étui protecteur à leurs clients. Interrogez la vôtre ! A défaut, il est possible de les acheter dans le commerce. Prix : environ 4 €.

    Article paru dans Notre Temps


    votre commentaire
  •  Du fantasme à la réalité

    Née à Noël 1837, Élisabeth de Wittelsbach fut immortalisée en impératrice parfaite par la trilogie Sissi. Était-elle Irréprochable ?

    Elle était amoureuse de son Franz. Vrai et faux

    Éperdue de lui aux premières heures de leur mariage, elle détesta leur nuit de noces (survenue trois jours après les épousailles) pendant laquelle elle se sentit violentée. Des années plus tard, elle écrira : « Enfant de 15 ans, j'ai été vendue. » En effet, pour avoir « donnée » sa virginité à l'Empire, Sissi reçut une cassette d'or. Souvent délaissée par un mari qui faisait passer son travail avant elle, l'impératrice d'Autriche s'accommodait de la situation et en profitait pour voyager.

    Elle était un panier percé. Vrai 

    Profitant de son statut de souveraine, Sissi dépensait des sommes folles en toilettes et en voyages. Cavalière émérite, elle ne comptait pas quand il s'agissait d'acquérir des chevaux. François-Joseph réglait les notes sans jamais lui faite de reproches.

    Sophie, sa belle-mère, la détestait. Faux 

    La mère de l’empereur – qui avait été surprise mais pas déçue par le choix de son fils – trouvait Sissi immature, insouciante et peu encline à remplir son devoir d’impératrice sans broncher ( comme elle le fit elle-même ). Mais elle lui reconnaissait beaucoup de qualité, parmi lesquelles sa grande générosité.

    Elle était fidèle. Faux 

    Franz étant accaparé par ses maîtresses ( des comtesses qu'il honorait déjà avant son mariage ou des actrices de passage ), Sissi se laissa séduire par le comte hongrois Gyula Andrássy. Elle entretenait aussi une correspondance exaltée avec son cousin Louis II de Bavière, qu'elle rencontrait régulièrement sur l’île des roses à Feldafing, dans les environs de Munich.

    Elle s'intéressait à la politique. Vrai 

    En 1856, sa présence à Venise apaisa les relations entre Autrichiens et Italiens. Ses multiples séjours en Hongrie permirent par ailleurs une annexion « en douceur » du pays voisin en 1867... Elle soutint aussi les revendications ouvrières et celles des minorités nationales comme religieuses.

    C'était une bonne mère. Vrai 

    Les obligations de la cour l'ont certes empêchée de rester auprès de ses trois aînés, élevés par sa belle-mère. En revanche, Sissi a tenu à veiller personnellement sur l'éducation de sa benjamine Marie-Valérie.

    Elle avait une bonne hygiène de vie. Faux 

    Cette liane de 1,72 mètre se nourrissait de lait et de bouillon de poulet ! Elle pesait 50 kilos et s'astreignait à de longues séances d'exercices pour s'y maintenir. Une salle de sport était d'ailleurs aménagée dans chacun de ses châteaux. Côté psyché, l'impératrice soignait sa mélancolie avec de la cocaïne, considérée à l'époque comme un antidépresseur. Le musée de Sissi de Vienne expose d'ailleurs l'impériale seringue...

    Romy Schneider

    La trilogie Sissi ? Un très mauvais souvenir pour l'actrice qui s'est vu imposer le rôle par sa mère, Magda Schneider, comédienne ratée et amie du Führer. Dans ces films, celle-ci jouait sa maman pour veiller sur elle durant le tournage.

     

    Du fantasme à la réalité


    votre commentaire
  • Ce jour où les Russes ont libéré Auschwitz

    Il y a soixante-dix ans, les troupes soviétiques entraient dans le camps de concentration et découvraient l'horreur de la barbarie nazie.

    Le 27 janvier 1945, les soldats de l'Armée rouge poursuivent leur offensive pour libérée la Haute-Silésie, en Pologne. Au fil de la progression des opérations militaires, les éclaireurs de la 60ème armée du premier front ukrainien découvrent le vaste complexe d'Auschwitz-Birkenau, situé à l’ouest de Cracovie. « C'est le plus grand camp de concentration du IIIème Reich et le principal centre de mise à mort d'Europe, où 1,1 millions d'individus, dont 1 million de Juifs, ont été exterminés », précise Olivier Lalieu, historien au Mémorial de la Shoah ( www.memorialdelashoah.fr ), auteur d'Histoire de la mémoire de la Shoah (éd. Soteca). Lorsque, dans l'après-midi, les Soviétiques pénètrent dans l'enceinte par le camp annexe de Monowitz, ils font face à l'inimaginable : 600 cadavres, mais aussi 7 tonnes de cheveux, plus d'un million de vêtements et des milliers d'objets divers ayant appartenu aux déportés. C'est la désolation, d'autant que les infrastructures sont en parties détruites. Fuyant les troupes alliées, les nazis ont pris soin de dynamiter les chambres à gaz et les fours crématoires pour faire disparaître les traces de leurs atrocités...

    Les troupes russes sous le choc

    Craignant le retour des SS, 7000 survivants, dont 200 enfants de moins de 15 ans, se cachent. « Oubliez l'image des prisonniers dans les bras de leurs libérateurs : cela ne s'est passé ainsi, explique Olivier Lalieu. Les détenus étaient trop effares et affaiblis pour accueillir les soldats avec enthousiasmes. » De leur côté, les Russes sont sidérés. En juillet 1944, ils étaient entrés dans le camp de Lubin-Majdanek, mais la majeure partie de ses occupants avait été évacués. Jamais il n'avaient été témoins d’une telle horreur. « C'était un tableau terrible : les enfants avaient le ventre gonflé par la faim, les yeux vagues, des jambes très maigres, des bras comme des cordes, et tout le reste ne me semblait pas humain »., se souvient le général Petrenko dans son livre Avant et après Auschwitz (éd. Flammarion).

    Des survivants à l'article de la mort

    Le 17 janvier, les SS avaient déjà évacués Auschwitz et jeté sur la route 58000 prisonniers pour les transférer vers d'autres camps, laissant sur place les plus faibles. Les Soviétiques sont donc confrontés à une urgence sanitaire. Ils enterrent à la hâte les dépouilles dans des fosses communes et installent des infirmeries avec l'aide de la Croix-Rouge polonaise. Malgré les soins, des centaines de déportés décèdent. Et le lendemain de la libération d'Auschwitz, la nouvelle fait à peine quelques lignes dans les journaux. La barbarie nazie ne sera révélée au grand public qu'en avril, quand les Anglo-saxons médiatiseront la libération des camps et montreront l'indicible.

    Tout a commencé à Dachau...

    Dachau est le premier camp de concentration ouvert en Allemagne, au printemps 1933. Il est destiné aux opposants au régime nazi, aux homosexuels, aux Tsiganes et aux malades mentaux. Puis, après la Nuit de cristal, en novembre 1936, 10000 Juifs y sont déportés.

     

    Ce jour où les Russes ont libéré Auschwitz

    Ce jour où les Russes ont libéré Auschwitz


    votre commentaire
  •  La petite histoire d'un grand hymne

     Claude Joseph Rouget de Lisle

    Le 14 février 1879, la Marseillaise devenait l'hymne national français. Retour sur son parcours patriotique et chaotique...

    Janvier 2015. Des rues de Paris à celles de Berlin ou de Rio, des millions de manifestants qui battent le pavé en hommage aux victimes des attentats entonnent la Marseillaise. Une fois de plus, le chant guerrier tient lieu de cri de liberté. Le capitaine Rouget de Lisle aurait de quoi être fier, lui qui dans la nuit du 25 au 26 avril 1792 griffonne ce texte à la demande du maire de Strasbourg, où il est en garnison. Dans sa composition, intitulée Chant de guerre pour l'armée du Rhin, l'officier couche ses impressions après la déclaration de guerre de la France à l'Autriche. En août de la même année , son œuvre est rebaptisée la Marseillaise en l'honneur de militaire phocéens venus participer au renversement de la monarchie. Et ce, parce qu'ils auraient été les premiers à la fredonner dans les rues de Paris... Trois ans plu tard, le 14 juillet 1795, la Convention la décrète pour la première fois chant nationale. Interdite sous l'Empire puis sous la Restauration, la Marseillaise revient au goût du jour dès 1830 lors de la monarchie de Juillet, et le compositeur Hector Berlioz en élabore une orchestration. Bientôt, les monarchistes, qui la trouvent blasphématoire, font pression pour qu'elle retourne aux oubliettes. En réaction, et parce qu'ils craignent un retour de la royauté, les députés républicains décident, eux, de l'imposer comme hymne national par la loi du 14 février 1879.

    Un signe d'unité

    Indissociable du drapeau bleu, blanc, rouge, la Marseillaise coule alors des jours heureux. Jusqu'à ce que les Allemands l'interdisent en zone occupée pendant la Seconde Guerre mondiale. Il faut attendre la Libération pour qu'elle retrouve ses lettres de noblesse. On la fait alors chanter dans les écoles « pour célébrer nos martyrs », comme l'indique une circulaire du ministère de l'Éducation nationale. Les Constitutions de 1946 et 1958 réaffirment son caractère d'hymne national. Pour de bon. Entonnée lors des diverses commémorations ou à l'occasion des rencontres sportives, elle devient un symbole fort d'unité. Le 22 septembre 1984, à Douaumont, dans la Meuse, durant la célébration du 70ème anniversaire de la bataille de Verdun, François Mitterrand, alors président de la République, saisit la main du chancelier allemand Helmut Kohl pendant ses premières notes, scellant ainsi la bonne entente des deux pays.

    Accrocs et scandales

    Dans l'histoire de la Marseillaise, on retient aussi des accrocs. Comme ce jour de 1979 où Serge Gainsbourg livre le reggae Aux armes et cætera. Rixes, bagarres, tribunes... les réactions ne se font pas attendre. Pour se faire « pardonner », Gainsbarre achète, en 1981, le manuscrit original de Rouget de Lisle pour 135000 francs ( 20000 euros ). Vingt ans plus tard, une Marseillaise sifflée par des spectateurs français d'origine maghrébines lors du match de football France/Algérie suscite une vive réaction et inspire une loi : depuis le 24 janvier 2003, l' « outrage au drapeau tricolore et à l'hymne national » est passible de six mois de prison. Et depuis 2005, l'apprentissage de ce chant est obligatoire dans les écoles primaires. Intouchable, non. Vivant, certainement.

    La Marseillaise résonne en Asie

    Japon, 1996 : l'équipe de football de Nagoya, entraînée par Arsène Wenger, gagne la Supercoupe. Depuis, ses supporters chantent la Marseillaise. Pékin, 1989 : les étudiants, place Tian'anmen, entonnent l'hymne avant d'être délogés dans le sang.


    votre commentaire
  •  

    Quand l'espace se dévoile

    Les premiers clichés de la sonde New Horizons.|Nasa.

     

    Entre le premier survol de Pluton, la face cachée de la Lune, l'âge des étoiles ou les lunes de Jupiter, l'actualité se joue non plus sur terre, mais dans l'espace...

    La sonde spatiale New Horizons a débuté sa navigation « à vue » et se rapproche de sa destination: Pluton. Le voyage a débuté en 2006 avec l'objectif affiché d'effectuer le premier survol de Pluton, alors considéré comme la neuvième planète de notre système solaire. Et si New Horizons a déjà parcouru 5 milliards de kilomètres, il lui faudra encore naviguer 200 millions de kilomètres pour arriver à destination.

     

    Les premiers clichés de Pluton livrés au printemps

    Le premier tour de ce monde glacial est prévu pour juillet prochain, mais pourtant la Nasa vient de diffuser, sur son site Internet et sur son fil Twitter les premiers clichés de la sonde, sur lesquels il est possible d'apercevoir la planète gelée et sa lune.

    http://cdn.phys.org/newman/gfx/news/2015/newhorizonsr.gif

    Et si, effectivement, la photo apparaît bien peu lisible pour les plus néophytes d'entre nous, l'expédition, historique, permettra, elle, de mieux connaître et voir la planète de 2 000 kilomètres de diamètre, qui demeure aujourd'hui encore un mystère. Les premiers clichés véritablement exploitables par les scientifiques, devraient être édités d'ici la fin du printemps. Après ce survol, la sonde spatiale terminera sa navigation pour se poser sur la ceinture de Kuiper.

     

    Guerre des étoiles

    D'ici là, le voyage de New Horizons devrait encore tenir en haleine ceux qui se passionnent pour ces nouvelles conquêtes de l'espace. Il est vrai qu'aujourd'hui entre les projets pharaoniques de Google ou Space X, la mission Rosetta ou la découverte de nouvelles planètes, la guerre des étoiles fait à nouveau rage. Jamais la Nasa ou l'agence spatiale européenne ( ESA ) n'avaient eu autant de followers sur Twitter et les péripéties du petit robot Philae, perdu sur la comète Tchouri, sont autant suivies qu'un épisode de Game of Thrones.

    D'autant que la Nasa joue le jeu et poste, chaque jour ou presque, de nouvelles vidéos, de nouvelles photos sur les réseaux sociaux. Sans oublier qu'aujourd'hui chaque astronaute tient à jour son profil Facebook, son fil Twitter. Et voici que cette semaine, l'agence spatiale américaine dévoile la « face cachée » de la Lune, cette zone invisible de l'astre, avec la Terre en toile de fond. Des images sont totalement inédites.

    http://www.youtube.com/watch?v=jdkMHkF7BaA&feature=youtu.be

    D'après les relevés de la sonde spatiale Lunar Reconnaissance Orbitter, qui cartographie depuis 2009 la surface invisible, la Nasa a ainsi réalisé un timelapse de la face cachée du satellite qui regorge de cratères de toutes dimensions.

     

    Les trois lunes de Jupiter

    Nous imaginions avoir vu le plus beau, le plus rare, mais voilà que la Nasa monte encore d'un cran et dévoile un cliché du passage simultané de trois des plus grosses lunes de Jupiter, pris le 24 janvier dernier par le télescope Hubble. Grandiose.

    https://twitter.com/NASA/status/563402113510694912

    Io, Callisto et Europe apparaissent sur la photo de Hubble ( il manque donc Ganymède ), ainsi que leurs ombres respectives portées sur la surface de Jupiter. C’est d'ailleurs vers Europe, qui possède un océan abritant potentiellement la vie, que devrait être envoyé dans quelques années un robot de la Nasa.

     

    Des étoiles plus jeunes que prévu

    Et enfin, l'Agence spatiale européenne a rendu publique de nouvelles analyses des rayonnements fossiles ( cette lumière émise 380 000 ans seulement après le Big Bang et qui nous donne une idée de ce à quoi l'univers ressemblait à l'époque ). Ces cartographies du satellite Planck, réalisées de 2009 à 2013, montrent notamment que les étoiles sont plus jeunes que certains scientifiques le pensaient.

    Selon Le Figaro, ces cartographies révèlent même que l’univers est composé à 5% de matière ordinaire, à 25% de matière noire et à 70% d’énergie noire ( dont on ne sait pas grand-chose ). Et Planck estime même la date d’apparition des premières étoiles à environ 560 millions d’années après le Big Bang, alors que certains pensaient jusqu’ici qu’elles étaient nées 140 millions d’années plus tôt...

    Le rayonnement fossile observé par le satellite Planck, e 5 février 2015. - ESA / Planck Collaboration


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires